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4 février 2009 3 04 /02 /février /2009 09:43


Mais qui veut donc travailler en ces jours

Là où les roses parfument l’été d’amours

Mais qui veut donc travailler en ces discours

Lorsque le ciel bleu se marie au joli bikini jauni,

Mais qui veut donc éviter en ces  jours

Là où enfin sur le sable, allongée, la vague brunie

Mais qui donc osera renier un doux regard velours

Lorsqu’elle entrera en ton cœur, longue nuit

Mais qui donc peut s’enfuir face à l’amour

Là où les jours paradent une vie avec une autre…vie !

Mais qui peut donc travailler pour fuir le toujours

Lorsqu’elle t’attend à l’autre bout du monde, allez cours !





Et fuis tous regrets... 

 

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4 février 2009 3 04 /02 /février /2009 09:41


A chaque fois que  mon regard va au derrière de mes fenêtres

La pluie me submerge, effaçant le soleil de l’enfant qui dort

N’y a-t-il pas un truc qui disjoncte à devoir être

N’ya-t-il donc  que le rêve pour s’échapper alors

 

A chaque fois que mon regard  va au dedans de vos fenêtres

La similitude nous rapproche, effaçant social des corps

N’y a-t-il plus de candeur au cœur de l’hiver

N’y a –t-il donc que l’amour pour s’accepter, encore…

 

Le vent souffle la chanson des feuilles mortes

Et Brassens  guette du haut de son port

Le retour du radeau de la méduse,

Le temps pousse la chanson  à la faute

 

Et Dassin attend toujours et encore

Sur le haut de la colline, sa muse…

N’y a-t-il  pas autre chose, une amitié profonde

N’ya-t-il donc pas d’espoir d’être avant cette tombe…

 

Marche, que cela, je marche et j’essaie

D’oublier mes remparts, ma douce folie

Et même si le passé scelle sans nul regret

J’ai vécu sur votre terre, ma plus grande folie…

 

A moi, les flots, la mer mariée

Avec foi, je plonge  en cendré

Et sous la surface, je vous écrirai

Aux reflets d’écumes, courants Peynet…


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4 février 2009 3 04 /02 /février /2009 09:40

Me croiriez-vous

Si  je vous disais que je suis un tournesol

Une graine parentale plantée à même le sol

Qu’à cette germination, j’ai vu le ciel me nourrir

 

Me croiriez-vous

Si je vous disais qu’à cette tige en pousse

Racines offrant maturité maousse

Fleurissant graines d’été pour néo-sourires

 

Me regarderiez-vous encore

Si je vous disais qu’après soleil au bal

M’asséchant au temps, perdant pétales

Je m’incline lentement

 

Me regarderiez-vous encore

Si je vous disais qu’à cet automne moisson

Graines d’héritage en huiles enrichissants

Ces nouvelles pousses me substituant

 

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4 février 2009 3 04 /02 /février /2009 09:35

Nouveau, des pas


Dansez, bras,  en vous, taies

Comme dérive le radeau de ma rêvéalité

Je tangue, tournoyant dans les courants

Emporté dans les dérives d’un grand vent

 

Enlacez vos regards, magnétisez

Comme un naufragé voguant à sa destinée

Je ne rêve pas, la réalité est là pourtant

Cette musique éternise ce temps

 

Oui, voilà belle manière d’écrire cette nuit là

Oui, voilà cruelle matière d’écrire ce regret là

Laissant l'aurore reprendre pas

Nous séparant une fois, dernière, glas

 

Non, je n’écrirai plus au sang de l’espoir

Non, nu retour, même si, demeure noire

Las de torturer, je serai à voir

Plombant mon radeau,  mais là, autre gloire...

 

 

 

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4 février 2009 3 04 /02 /février /2009 09:26

.Une femme d’amour.

 

Une femme au fil primaire

Avant d'être cataloguer mère

A plaisir à recevoir à ses chairs

Des offrandes du coeur ouvert

L'Amour

Femme sur fond de réciprocité

Communion des sentiments explosés

Là ou le mot devient verbe

Là ou hélas manque trop ce i en amer

L'Amour

 

Une femme d'union doit tout satisfaire

Avant d'être remercier sorcière

Balai et serpillière

Des obligations en plus de guerres

Pas de l'Amour

Femme s'aime dans l'orfèvre

Récitation à fuir un matin d'éclair

Là ou elle puisera l'eau claire

Là ou elle vivra sans plus de misère

Face à l'Amour

 

Une femme en l'absence d'ego à prière

Une femme face à la souffrance à satisfaire

Avant de soulever monts de ne plus paraître

Avant de forcer le barrage à disparaître

Plus brin d'Amour

Femme qui Aimait son alter

Décision en serre, décision amère

Là ou par derrière, elle délibère

Là ou elle se délivre, terre à terre

Elle, étincelle à son propre Amour

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4 février 2009 3 04 /02 /février /2009 09:24

.Marie en pseudonyme.

 

 

A force de trop décrier

Tous les chants à sa Prométhée

Marie nous rappelle, vierge

L’Amour aux flammes du cierge

 

 

Nouveau temps, Internet trop librement

Spirituel, nouveaux amants, mentant

Derrière l’écran, à tout les temps, vent

 

 

A force de trop écrire

Tout mot s’y perd même innocent

Pseudo, nous protège, pire

Décryptons ce poème vivant

 

 

Marie en mélange, Aimer vraiment

Pseudo, un pet avant seau d’eau, raison ?

Lisez en mon cœur, l’enfant innocent


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