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14 décembre 2015 1 14 /12 /décembre /2015 04:02
L'espoir

 

Tant de gens se perdent d’idées

Liberté des valeurs, marcher

Découvrir chacun, d’évoluer

A travers peurs, préjugés

Qu’une seule rassemble

 

Tant de gens prétendent savoir

Démocratie de pouvoir

S’unir dedans, manoir

A l’intérieur, gloire

Qu’une seule rassemble

 

Tant de gens vivent à côté

Egalité d’avancer, de partager

Brandir la vie, chance, Français !

Tant de gens oublient fraternité

Qu’une seule rassemble

Qu’une seule, ensemble

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12 décembre 2015 6 12 /12 /décembre /2015 04:08
C'est la vie

 

 

Le jour se lève, libre d’exister

Vivre pour se réaliser, d’aimer

Sans cesse, donner en conditionnel

Demain ne sera, sans qu’avec elle

Aux ailes du septième ciel

Le jour en thème, signe de rencontrer

Partager pour évoluer, améliorer

Sans cesse, espérer l’arc-en-ciel

Maintenant un grand soleil

Dans le regard de la réciprocité

Aimer, être aimer, oser…

 

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11 décembre 2015 5 11 /12 /décembre /2015 04:13
Chaque chose à sa Rose, si ne s'interpose, au fond, m'y dépose...

 

 

Comme une breloque, sorti

D’amas de poussières, d’hier

Endormi d’un recoin, verrière

Jauni au temps, presque pourri

Tourne à perdre la boule

Bilboquet au fil saoul

Palot, assis en chandelier

Contemple les remparts

Le temps importe, éternité

Comme un appel, jusqu’au phare

Et si un soir, je m’enfuis

Jeter moi, sans pitié, recycler

Ma mémoire face aux remparts

Qu’importe les étoiles qui luisent

Oubliez-moi, pas de cafard

Poursuivez, trop tard pour s’aimer !

 

 

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9 décembre 2015 3 09 /12 /décembre /2015 20:13
Mon coeur bat, rat !

 

Juste hier encore

Alors que la ville dort

Tu es venue, seule, souriante

M’as parlé, me disant

Je suis navrée, suis désolée

Je ne saurai, ne pourrai...

Les lumières se sont éteintes,

En résonne, tout dedans

Plus rien, le vide intérieur

Le silence, cri en résonnance

 

Pourtant tout avait si bien commencé

Si bien préparé cette matinée

Réservé banc avec vue, mer en douceurs

Mis brioche vintage, parfum de consonance

Tu es venue, seule, souriante

Tu m’as parlé, m’annonçant

Je suis navrée, suis désolée

Je ne saurai, ne pourrai

Mon âme s’est figée,

Mes yeux inondés

Respecter, apparence

Anéanti, mourir d’élégance…

 

 

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2 décembre 2015 3 02 /12 /décembre /2015 22:22
Konversation

 

 

Le soleil qui l’amena, chantait cette chanson

Non, ne joue pas, soit toi, simplement

Et en attendant qu’elle arrive, remparts

Droit devant, remparts de toute part

 

Elle est arrivée, si jolie chanson, fredonne

Non, ne joue pas, soit toi, naturellement

Et pourtant, réfractaire, le froid amarre

Préjugés, sa peur m’entraine, démarre

 

Caméléon

 

L’aurore qui l’amène, chante cette chanson

Oui, profite, soit joie, simplement

Et en attendant qu’elle arrive, remparts

Droit devant, phare, loin de Beauregard…

 

Elle est arrivée, si mélodieuse chanson, entonne

Oui, joue de la vie, soit toi, naturellement

Comment ? Enlève ta peau de torturé

Soleil, lumière en toi, essaie !

 

Le reste, sans excuse, m'appartient...

 

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1 décembre 2015 2 01 /12 /décembre /2015 04:33
Posthume

 

 

Malgré l’orage,  aux vents  tourbillonnants

L’oiseau volait, planant au-dessus de l’océan

Souviens-toi, il étendait ses ailes

Voulant vous protéger du ciel

 

Malgré le silence, absence marquant

L’ange consumé, sous l’onde, goémons

Souviens-toi, il écrivait des poèmes

A vous aimer sous ce même ciel

 

Malgré les remords, aux larmes dévisageant

Ces âmes noires, pleurant le souvenir d’avant

Souviens-toi, il réclamait à l’idem

La paix, vivre sous un même arc-en-ciel

 

Malgré la vague, le sable satin

Un îlot blanc dans ce ciel lointain

Souviens-toi,  tous,nous nous retrouverons

Sans peau à préjuger, gratte-ciel…

 

29 mars 2008

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30 novembre 2015 1 30 /11 /novembre /2015 04:14
Faut pas rêver !

 

 

Elle me dit d’un regard

Tente ta chance, tu verras

Elle me le confirme d’un sourire

Et moi, je n’ose, hagard

Prendre ou pas, à tout cela...

 

Je n’ose essayer à vrai dire

Peur, manque de confiance,

A cette belle, pas de chance

Quel idiot, elle me dit de venir

Me susurre des mots à frémir

 

Et moi, je me retourne de peur

Elle attrape ma main, horreur

Peter pan, Wendy, il est l’heure

Faut que je grandisse, sueur

Elle me regarde et me dit

 

Qu’attends-tu, embrasse-moi

La suite serait délectable

Le réveil, l’heure éjectable

Lundi matin, debout…

Où est-elle, fou !!!

 

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11 novembre 2015 3 11 /11 /novembre /2015 20:02
Sur un air d’Outkast

 

Rêver duel, le provoquer

Via ces mots, enfièvrer

Le regard insolent

Deux fois yeux, pourtant...

 

Inkatha liberté

Politique à sa conviction

Libre cour, cocktail de câlins

Regard pour, canailles pleins

 

Ni kit, Kat, d’Amitié

Escale arôme, sensations

Récréation, vers d’attentions

Toute part, l’évasion

 

Et demain, à qui le tour

Escapade, bras en retour

Fun, partons aux sourires

Jour entier, délires et simplement vivre !

 

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8 novembre 2015 7 08 /11 /novembre /2015 04:41
Illuminance intérieure, nous

 

Il y a au temps, sentiments

Volant aux vents

Il y a surtout, nous

L’enjoue partout

 

L’ordre fragile

         Perception, dit-il (Serie tv)

        L’hôtel California (Eagles)

Se souvient-elle

 

         Il y a au banc, noms (Brassens)

Marquant l’instant

Il y a surtout, nous

Sens dessus-dessous

 

L’amitié indélébile

     Inception, dit-il (Film)

C'est comme ça

               Que je t'aime... (Mike Brandt)

 

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7 novembre 2015 6 07 /11 /novembre /2015 09:30
Why ?

 

Pourquoi doit-on pleurer l’amour

Ces larmes qui effondrent autour

Nos joies, nos convictions

Pourquoi doit-on pleurer aux séparations

Ces secondes divisées en deux

Ce partage à la solitude, pour un mieux

 

J’ai pleuré, pleuré à mes ailes tombées

Le sentiment, pelle ossuaire

Abysses, doux qu’amer

J’ai pleuré, pleuré à ce vide esseulé

Cette main creuse d’émotion

Pieuse d’écriture, son nom.

 

Pourquoi doit-on vivre après l’amour

Cet espoir autre, faux, toujours

Ce soleil, cette fougue

Pourquoi doit-on rêver d’âme-sœur

Cet idéal, vie qui subjugue

Le cœur, l’esprit au bonheur…

 

A quoi sert de vivre pour survivre

Lorsque l’amour fuit nos lèvres

A quoi sert de rire aux sourires

Lorsque l’amour renie en lèpre

Nos accords, mains enliées

Nos corps, quotidien spolié

 

A quoi  sert de dire pour médire

Lorsque l’amour fuit notre regard

A quoi sert d’écrire tous ces désirs

Lorsque l’amour renie en phare

Eclairer nos vies, parfum

Calvaire jusqu'au crématorium

 

 

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