Maldonne, te revoilà assis là
Que reviens-tu faire là
Qu’as-tu au corps
Qu’as-tu en corps
Est-ce juste, à tort l’amour
Est-ce rustre, mort à toujours
Spleen, au banc, ombres et plaies
Que reviens-tu donc chercher
Qu’à l’âme, rêve au corps
Qu’as-tu à croire en corps
Phare lustre, année-lumière
Et d'Elle, muse à tout ce concert
Maldonne, la voilà, non loin de là
Qu’aime revienne ici, d’éclats
Ce même amour au corps
Ce même amour en cor
L’idem ? Gore
Maldonne ? Remords…
Assis là, vide intérieur
Assis là, profonde noirceur
Mer se devine en ses yeux
Telles les ailes sacrées, tel à Dieu
Maudit soit l’oiseau à disparaître
Maudit jamais plus, vivre par être
Qu’à la sienne, soit meilleure
Qu’à la tienne, tu m’y noies, porteur…
Et demain, au silence, des maux dit !
Dormiront, dormiront perdu, c’est ainsi
Et la vie, termine cette poésie d’amitié
A l’amour, jusqu’à la mort, scellée…
Without your love my heart at the bottom of the sea