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4 février 2009 3 04 /02 /février /2009 09:41


A chaque fois que  mon regard va au derrière de mes fenêtres

La pluie me submerge, effaçant le soleil de l’enfant qui dort

N’y a-t-il pas un truc qui disjoncte à devoir être

N’ya-t-il donc  que le rêve pour s’échapper alors

 

A chaque fois que mon regard  va au dedans de vos fenêtres

La similitude nous rapproche, effaçant social des corps

N’y a-t-il plus de candeur au cœur de l’hiver

N’y a –t-il donc que l’amour pour s’accepter, encore…

 

Le vent souffle la chanson des feuilles mortes

Et Brassens  guette du haut de son port

Le retour du radeau de la méduse,

Le temps pousse la chanson  à la faute

 

Et Dassin attend toujours et encore

Sur le haut de la colline, sa muse…

N’y a-t-il  pas autre chose, une amitié profonde

N’ya-t-il donc pas d’espoir d’être avant cette tombe…

 

Marche, que cela, je marche et j’essaie

D’oublier mes remparts, ma douce folie

Et même si le passé scelle sans nul regret

J’ai vécu sur votre terre, ma plus grande folie…

 

A moi, les flots, la mer mariée

Avec foi, je plonge  en cendré

Et sous la surface, je vous écrirai

Aux reflets d’écumes, courants Peynet…


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commentaires

B
plus je le parcours ce texte plus je me dis,qu'il est très juste de mots....<br /> T'es plutôt bon !!!!!!!!arfff.<br /> Juste moi!!!!!
Répondre
T
<br /> erreur de frappe, non ? tu as mis un b au lieu d'un c dans ton commentaire. Juste toi !<br /> <br /> <br />
B
a force d'ouvrir des fenêtres,on s'épuise a être,puis a ne plus être en quelques secondes...<br /> Ma traduction.....<br /> Moi pour toi!!!!!!!
Répondre
T
<br /> oui, je le ressens d'une certaine manière comme toi.<br /> <br /> <br />