A chaque fois que mon regard va au derrière de mes fenêtres
La pluie me submerge, effaçant le soleil de l’enfant qui dort
N’y a-t-il pas un truc qui disjoncte à devoir être
N’ya-t-il donc que le rêve pour s’échapper alors
A chaque fois que mon regard va au dedans de vos fenêtres
La similitude nous rapproche, effaçant social des corps
N’y a-t-il plus de candeur au cœur de l’hiver
N’y a –t-il donc que l’amour pour s’accepter, encore…
Le vent souffle la chanson des feuilles mortes
Et Brassens guette du haut de son port
Le retour du radeau de la méduse,
Le temps pousse la chanson à la faute
Et Dassin attend toujours et encore
Sur le haut de la colline, sa muse…
N’y a-t-il pas autre chose, une amitié profonde
N’ya-t-il donc pas d’espoir d’être avant cette tombe…
Marche, que cela, je marche et j’essaie
D’oublier mes remparts, ma douce folie
Et même si le passé scelle sans nul regret
J’ai vécu sur votre terre, ma plus grande folie…
A moi, les flots, la mer mariée
Avec foi, je plonge en cendré
Et sous la surface, je vous écrirai
Aux reflets d’écumes, courants Peynet…