4 février 2009
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Nouveau, des pas
Dansez, bras, en vous, taies
Comme dérive le radeau de ma rêvéalité
Je tangue, tournoyant dans les courants
Emporté dans les dérives d’un grand vent
Enlacez vos regards, magnétisez
Comme un naufragé voguant à sa destinée
Je ne rêve pas, la réalité est là pourtant
Cette musique éternise ce temps
Oui, voilà belle manière d’écrire cette nuit là
Oui, voilà cruelle matière d’écrire ce regret là
Laissant l'aurore reprendre pas
Nous séparant une fois, dernière, glas
Non, je n’écrirai plus au sang de l’espoir
Non, nu retour, même si, demeure noire
Las de torturer, je serai à voir
Plombant mon radeau, mais là, autre gloire...