Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
4 février 2009 3 04 /02 /février /2009 09:35

Nouveau, des pas


Dansez, bras,  en vous, taies

Comme dérive le radeau de ma rêvéalité

Je tangue, tournoyant dans les courants

Emporté dans les dérives d’un grand vent

 

Enlacez vos regards, magnétisez

Comme un naufragé voguant à sa destinée

Je ne rêve pas, la réalité est là pourtant

Cette musique éternise ce temps

 

Oui, voilà belle manière d’écrire cette nuit là

Oui, voilà cruelle matière d’écrire ce regret là

Laissant l'aurore reprendre pas

Nous séparant une fois, dernière, glas

 

Non, je n’écrirai plus au sang de l’espoir

Non, nu retour, même si, demeure noire

Las de torturer, je serai à voir

Plombant mon radeau,  mais là, autre gloire...

 

 

 

Partager cet article
Repost0
4 février 2009 3 04 /02 /février /2009 09:35

.La Schtroumpfette.

Décolorer la Schtroumpfette

Celle qui a les p’tites fesses

En forme de sous-sol

Relifter la Schtroumpfette

Maquillage à tête de tresses

Chloroforme, j’décolle

Hasch ou h du HLM

 

A voir cette Schtroumpfette

Décolletées de première

Aux portes de jarres, tel

36 15 suis cette, belle !

Et dans mon quartier de Schtroumpfettes

Evidement, y’a ma b’lle mère

A chier au h du HLM

 

Glandeuse de Schtroumpfette

Elle lèche mes sandales

Répétant l’odeur à sa fillette

Et naturellement, scandale

Et puis voilà, b’lle schtroumpfette

La mort de c’tte p’tite disette

Haché oui, sache que je l’aime…

 

 

Putain de Renaud qui m’inspire le ch’tti au litron du grand rouge…

 

02/10/2002

 

Partager cet article
Repost0
4 février 2009 3 04 /02 /février /2009 09:35

.Tous, besoin d’amour.

 

 

On naît tous pour peurs

Premier cri, premier froid

Un grand vide de pleurs

Moi aussi, j’ai crié comme toi

J’ai fais mes premiers pas

Tout comme toi, et même si

Tu es différente, pas à pas

On apprend, et puis si

Après un pas, un de nous  deux tombe

Si un d’eux tombe

Regarde, on est tous pareils

Même la fin, même ciel…

On vit tous par amour

Premier baisé, premier je t’aime

Un grand vide sous cette tour

J’ai fais mes premiers poèmes

Tout comme toi, et même si

Tes vers sont différents,

J’imagine sans effort, ton écrit

Ses baumes, ses rubans affriolants

Et si toi ou moi illuminons ciel

Et si eux ou prude amour

Un instant viendra, long sommeil

Même fin, naitre d’un trou pour  retour

Alors aime-les, aime-toi

Et si …. Aimez-moi

Un peu

Un peu….

Partager cet article
Repost0
4 février 2009 3 04 /02 /février /2009 09:35

Avec Vous

 

 

Pour toute une vie,

Je vous prosternerai l’Amour;

Sans soupirer une nuit,

J’arracherai votre corps de velours.

 

 

Je clamerai mes joies,

Au sommet de votre coeur;

Je serai votre amant de soie,

Pour découvrir votre chaleur.

 

 

Pour vous avoir tant songée,

Durant cette enfance à regret,

Où j’ai du livrer batailles,

Pour vous conserver loin du mal.

 

 

Pour vous avoir tant aimé,

Sans jamais vous rencontrer,

J’ai du graver votre visage,

Sur les murs de ma cage.

 

 

Pourtant je vous ai découverte,

Un jour de pétaudière,

Où vos regards ont percé,

L’ardeur d’une passion secrète.

 

  

A l'aurore renaissant,

Je me suis offert aux démons,

En échange du plus beau trésor,

Votre corps.

 

 

J’hululerai votre charme,

Sur les plaies d’un mal-aimé;

Vous anéantirez l’arme d’une larme,

Pour une existence de liberté.

 

 

Sans une goutte de passé,

Vous me forgerez murailles d’aciers;

Nul ne franchira ce bonheur,

Nul ne vous changera en pleurs.

 

 

Vivre de vous pour toujours;

Sous la romance de vos yeux,

J’avouerai ce que je vous veux

L’ouverture de nos nuits d’Amours.

Partager cet article
Repost0
4 février 2009 3 04 /02 /février /2009 09:34


Voici  mon histoire, authentique récit

Au matin d’aurore, l’écureuil descendit

Venant devant ma porte, il dit, me suppliant

En bruit : « Des noisettes, faim ! », sa pénurie me peine

Panier d’osier en main, je partis en chantant

Mets au palais remplir de fruits secs et de graines

Il me guida d’un saut, l’orée de la forêt

Stoppant son bel élan, le voici a tremblé

Seul à l’immensité, j’entrais pour y glandée

Et après quelques pas, j’ai rencontré la fée

Elle m’a donné denrées, en bonne quantité

La sacrant d’un baiser pour bien la remercier

J’ai voulu revenir, la revoir au matin

Et pour présent mon cœur, tout cet amour enclin

Et ainsi naquis milliers de p’tites fées clochettes…. 


Partager cet article
Repost0
4 février 2009 3 04 /02 /février /2009 09:34


Bienvenue au ciel bleuté de la côte d’azur

Ne bougez plus, une petite photo souvenir

Flashez sur la route du soleil, à coup sur

Quelques points pour bonne image

Rien à redire

 

Marche sur le sable entre compagnies

N’oublie pas de faire bonne figure, rentre le ventre

Aldo  sourire et couilles à terre, vers interdits

Public qu’infantile, je retire cette image

Enfin, vacances, j’entre !

 

Quelques bisous, bavardages des retrouvailles

Le plaisir autour d’un repas, piscine  et divers

Et m’endors sur transat, bulle familiale

Le reste, bonne manière en fourmilière

Spa à  vous écrire

 

Nuit tropézienne à faire passant

Entre callgirls et badauds paillasson

Rêvant à ces jets blanchissants

Rien de beau pour vivre plaisant

Illusion de cancres

 

Carapaces et tortues, le Var en clair

Tandis qu’à Sainte-Maxime, mains sportives

Cogolin, ma première pipe en bruyère

Et une bonne tropézienne, désert en additif

Créole récit, mon vécu


Pas fini... donc je ne dirai pas je conclus !

Partager cet article
Repost0
4 février 2009 3 04 /02 /février /2009 09:34

.Aimer jusqu’à l’amer de l’âme.

 

Jamais plus je n’aimerai

L’aurore de tes yeux

Si flamboyants

Jamais plus je ne saurai

Chevalier ou mieux

Ton amant

 

J’aurai voulu t’aimer
Plutôt que de te détester

J’aurai voulu te désirer

Plutôt que te renier

 

Jamais plus je n’aurai

L’ambre de ton sourire

Envoûtant

Jamais plus je ne pourrai

M’éveiller de tes dires

Désillusion

 

Amer confrontation

De tes bras enlacés

En d’autres contrées

Lame de ta trahison

En mon cœur évidé

Je ne pourrai plus jamais

 

Aimer…
Partager cet article
Repost0
4 février 2009 3 04 /02 /février /2009 09:33

.Cloche, phare.

 

 

 

Si un jour, matin de bois

Tu croises un mauvais souvenir

Si tu regardes quelque fois

Tu me verras dans un délire

Ancien copain ou autre

Tu ne me comprendras pas

D’habits de cloporte

Je vis dans le glas

Inutile bonjour

Irascible détour

Passe sans t’attarder

Du passé j’ai cessé

L’ombre n’a plut qu’odeurs

Ivrogne ou serre à puanteur

J’ai pris un autre carrefour

 

 

 

Si un jour, matin de froid

Tu croises un vieil amour

Ne t’arrête pas, pour moi

La vie poursuit ceux qui la fuient

Moi, j’attends qu’elle me dépasse

Pourtant, tortures d’attendre et puis

A quoi bon, l’espoir mue d’impasse

Illusion ; continue ton chemin

Oublie ce matin

Je mite sous galerie

L’âme sous la Salpêtrière

Déambulant de même envie

Ecriteau sur ma peau, l’amère

Ou manquera toujours cette lettre

Ce i qui ironise mon spectre.



Partager cet article
Repost0
4 février 2009 3 04 /02 /février /2009 09:33

.C’est là....

 

C’est là dans la ville

C’est là où je vis

C’est là...

 

Ici bas, le ciel est mon toit

Et les étendues, ma demeure

Ici bas, l’amour n’est pas

A mille lieux de sa croix

Je suis martyr d’un bonheur.

 

C’est là dans mon âme

C’est là où est ma flamme

C’est là...

 

Merveille sous le pli

Ecrire bohèmes en folie

Grandiose en éclosion

Comme une rose en fusion

Je suis éclat d’éclats

 

C’est là dans mes mains

C’est là où il se tient

C’est là...

 

Mystère d’un désir

Secret d’une promesse

Rêve du satyre

C’est tout cela

Le silence d’une sagesse

 

C’est là dans ces mots

C’est là où il est écrit au dos

C’est là...

Partager cet article
Repost0
4 février 2009 3 04 /02 /février /2009 09:33




Perlimpinpin,  mesdames et messieurs, la neige des religions

Poudre de parodie, cette comédie à vous faire croire

Qu’il tombe du ciel, ce petit fiacre miséreux

Point du latin, mesdames et messieurs, la teigne des raisons

Foudre de calomnie, cette ineptie à vous faire croire

Qu’il offrira arc-en-ciel, ce tiare de poussiéreux

Non, mesdames et messieurs, voguez sans bogué

Baissez le baiser baisez le braisier et osez essayez

Non mesdames et messieurs, oyez sur le pont Mirabeau

Les rives du chat ou lapine grossit la scène, cène, les mécènes….

 Poudre de calotin, la mort bleue d’un corbeau

Qui observe et dessine l’église d’un petit jésus,  pleine….

Poudre de calotin, la mort feue, j’en charme de merde

Saints et croix, ans, ma vie sera la plate-bande arrière

Qu’importe le chemin religieux,  pourvut que la foi gicle

Et que mesdames et messieurs vous en soyez ravi,  soit là cycle

Perlimpinpin, mesdames et messieurs, la neige des chansons

Poudre d’effusion, cette union à vous  faire unisson


Partager cet article
Repost0