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10 octobre 2022 1 10 /10 /octobre /2022 19:18

 

A claque Muse,

 

J’ai été hier, enfuis

Aimant sa poésie

A chaque rendez-vous

Toujours trop fou

 

J’ai aimé ce paradis

J’ai été ce qu’elle dit

A chaque rendez-vous

Bien trop fou

 

Faut-il tomber pour être haut

Que comprendre, ressentir

Si ce n’est qu’à souffrir

La vie rime d’Amour, show

 

Sur le parvis de l’enfance, le rêve

Au seuil d’être, ce cri qu’on sème

L’envie de croire, encore plus

A l’hôtel des adieux, jamais plus…

 

 

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4 mars 2021 4 04 /03 /mars /2021 14:56

 

C’est toujours la nuit d’où surgissent les sultans,

Ces ogres de terreurs, ces féroces souvenirs !

De vous à moi, avez-vous déjà ressenti leurs lames,

Ces senteurs froides, fortunes à votre cou ?

 

Dîtes-moi de vous, dîtes-vous de moi

Des grottes de foi,  des crottes de joies

 

Si fébrile, l’histoire, après minuit, vils dragons,

Des notes gâtées, gratter sur la guitare, félir !

Comme à cette porte, non, c'n’est pas le chat d’Brahms !

Noire, la nuit, nu sous ma couverture, soul !

 

Please dîtes à ma mother,  la soul peine

Please, dîtes à my father, la loose aîne...

 

Feue qui crépite, trop d’cendres, sans bois !

D'ailes d'corbeaux, de nuits, de sultans noirs !

Vous écrirez, direz, guitare d’alcools, drogues, que croire !

 

Dîtes-moi de nous, dîtes-vous de moi

Des fautes de choix,  des clous de croix

 

Je vis là ; après minuit, refroidis de revoir,

J’ai attrapé guitare, composé sur ce bout d'bois !

Goût d'sueurs, d'peurs, vous rirez que j’avais d’la fièvre, pisse d'moiteur !

Vous en direz tant lorsque surgiront les sultans noirs, ogres crieurs !

Vous entendrez ce bruit qui gratte, griffes d’ivoire !

 

Please dîtes à my ankel,  la double peine

Please, dîtes à my sister,  qu'idem...

 

Derrière ce verrou, protecteur Fer qui retient, ce bruit ;

Ai-je dans la nuit, trop, je ne sais quoi ; surgissent les sultans !

Moi, je ne mens, pleurent d’accords, je ne montre, oui !

 

A la guitare, corde après corde, casse la nuit ;

Oui l’aurore, sol entre nuit et jour, bataillant sultans ;

Oui, combat, sans moi, sous ma couverture, je prie !

 

Dîtes-moi de tous, dîtes-vous de soi

Des chiottes,  des fautes de moi

Please dîtes my heart,  la seule peine

Please, dîtes à my brother, shoes thème...

 

Oui apparat, je vois le soleil, oui, voilà le jour !

Bonjour ciel , couleurs d’amour !

A vous, les sultans du jour !

A vous, les terreurs, sultans manipulateurs ;

Tout ce qui fera, plus que malheur !

A vous, cette guitare, nuitée du jour !


 

 

Brother Flots ever <3        A j'aimais dans mon coeur, tous ces souvenirs de mon existence, Tunnel of Love !

Un peu d'aide à décortiquer pour mon futur (Couverture : poème)(guitare d'ivoire : blancheur propos)(protecteur fer : mon Frère protecteur)(sol entre nuit et jour : être là entre la vie et la mort, entre le ciel et la mer)(sultans : à chacun sa définition !)

 

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6 février 2018 2 06 /02 /février /2018 19:24

 

Tu as accepté son invitation,

Cette saison défendue

Là où le cœur s’enlace

Là où de sensation

Tu l’as rappelé, il est venu

Là en bas sur cette place

 

Les yeux se sont confondus

Ses mains t’ont tenue

Et ensemble, courus

Du jour aux nuits écrues

 

Tu as donné toute raison

Cette profonde émotion

Il est parti en mission

Seule de silence, à tout dire

Manque cette confiance

Formule d’espérance

 

Les larmes d’Allah sur l’oreiller

L’espoir de le retrouver

Le cœur d’amour, tu pries

Allah, lui seul, oui…

 

Tu lui as écris mille et une

L’indifférence de la lune

Témoin impassible

Tu as tatoué son nom

Supplier l’invisible

Immense sentiment

 

 

 

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6 février 2018 2 06 /02 /février /2018 17:25

 

 

Tu me décris souvent troubadour

Qu’il n’y pas un seul jour

Où sur ce tapis, débat, écris

Y grandisse, polisson

Platonique câlinerie

Fusion d’aimant

Uni-vers d’une femme seule

 

Tu m’écris souvent de rappeler

Et me souris avant de regarder

Ces volets clos, dans cette pénombre

Où se filtre lumière du monde

Allongée, tout contre

L’enfant dort, inonde

Ce cliché d’une mère seule

 

 

On s’édit, la vie aussi

On en rit, l’amitié lie

Demain ? Aujourd’hui suffit

Et à l’amour, soyons ainsi

Partageons dans l’esprit

Nature enlie, la mer aussi

Le long de la plage, Rêvéalité

 

De nos souffrances, naît la rime

Tel la vague houleuse, la passion

De l’indifférence, craie en cime

Tel la dune pieuse, supplication

Défendons liberté et valeurs

Partageons le bonheur

Du tout-puissant, notre éternité.

 

 

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