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15 octobre 2021 5 15 /10 /octobre /2021 13:23

 

Dark love, Mains tenantes !

 

Tu te demanderas…

Parfois là !

...Souvent pas ;

Tu exclameras l'omerta,

Des cris à ... Long ébats !

 

Si jamais, au besoin… De soin

Si toujours ... Ou bien, retiens,

Tu pourras voir, chaque jour,

 

Quasiment...

Constamment ...

 

Si jamais, au destin, lien…

Si toujours, au matin, rien…

Ensoleille "nous"... Même jour !

 

Et toujours va,

Tu chercheras,

Tu chériras,

Tu t’chercheras

Ici que là !

 

Le nom du lieu, dépendance

Parfois pas...

Le nom du vieux, résilience...

Toutefois glas !

 

Parfois pleurs, ris avec ...

Appel, rappelles-toi ... Remake !

 

Et avances un à runes

Et devances les noires nuits

Notes, commences à la lune

Le chemin des poésies…

 

Et toujours pas,

Tu croiras ...

Tu croiseras ...

Tu t’chercheras ...

Ici, là ... Léa !

Dark love

 

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9 septembre 2021 4 09 /09 /septembre /2021 16:23

 

Haine au bruit du silence :

"Et combien même ?"

Le tant en vagues, désobéissance

 

Aime aux nuits Léa, résilience

Et qu’homme, bien de laine

L’haut, céans d’abondance

 

Alors écrire de vers, un brouillard

Entremêlé de lignes aux pieds

Le cœur dissimulé, à part

 

Qu’importe le quai de gare

Aiguillé l’infime éternité

Le cœur emplit, fou rare

 

 

 

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12 mars 2021 5 12 /03 /mars /2021 11:07
Soul

 

Use me

 

As-tu déjà entendu le roc, voix du phare

As-tu déjà vu lumière, éblouir d'toute part

As-tu compris que le jour, époux à la vie

Pour amante, cette nuit; lune, témoin-voyant

As-tu déjà ressenti chaleur, l'émoi incandescent

As-tu cru t’enfuir, dans ce fort qui luit

As-tu compris que la mort épouse avec déni

A l’infini amant, cet amour fugueur, qu’envie

Ton âme, esprit tout-puissant, engloutie

Dans ce corps, danse, évades-toi,

Échappe-toi, sors, loin d’ici

 

As-tu cru pouvoir rester, dans ce grand froid

Réveille-toi, sors d’ici, balance l’interdit

Au déséquilibre, du réel à l’irréel; utopie...

Tu rêves sur ce banc, tu rêves !

Et à l’horizon, ailleurs, à cette neige

Tu vis sur cette plage de poésie,

Voile à l’image de tes rêveries ;

Magnificence, journalier sentiment

S'échouant, à ce roc, fracassant !

As-tu cru pouvoir être aux remparts, résistant

As-tu cru pouvoir être de toute part, part entière, navrant !

 

 

T’écris, tu cris

Tu pries, épris

De cette Celte

T’envies, tu en vis

Tu ries, tu nies

De miettes, minette…

 

https://youtu.be/dbN8jqDhHO8

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4 mars 2021 4 04 /03 /mars /2021 14:56

 

C’est toujours la nuit d’où surgissent les sultans,

Ces ogres de terreurs, ces féroces souvenirs !

De vous à moi, avez-vous déjà ressenti leurs lames,

Ces senteurs froides, fortunes à votre cou ?

 

Dîtes-moi de vous, dîtes-vous de moi

Des grottes de foi,  des crottes de joies

 

Si fébrile, l’histoire, après minuit, vils dragons,

Des notes gâtées, gratter sur la guitare, félir !

Comme à cette porte, non, c'n’est pas le chat d’Brahms !

Noire, la nuit, nu sous ma couverture, soul !

 

Please dîtes à ma mother,  la soul peine

Please, dîtes à my father, la loose aîne...

 

Feue qui crépite, trop d’cendres, sans bois !

D'ailes d'corbeaux, de nuits, de sultans noirs !

Vous écrirez, direz, guitare d’alcools, drogues, que croire !

 

Dîtes-moi de nous, dîtes-vous de moi

Des fautes de choix,  des clous de croix

 

Je vis là ; après minuit, refroidis de revoir,

J’ai attrapé guitare, composé sur ce bout d'bois !

Goût d'sueurs, d'peurs, vous rirez que j’avais d’la fièvre, pisse d'moiteur !

Vous en direz tant lorsque surgiront les sultans noirs, ogres crieurs !

Vous entendrez ce bruit qui gratte, griffes d’ivoire !

 

Please dîtes à my ankel,  la double peine

Please, dîtes à my sister,  qu'idem...

 

Derrière ce verrou, protecteur Fer qui retient, ce bruit ;

Ai-je dans la nuit, trop, je ne sais quoi ; surgissent les sultans !

Moi, je ne mens, pleurent d’accords, je ne montre, oui !

 

A la guitare, corde après corde, casse la nuit ;

Oui l’aurore, sol entre nuit et jour, bataillant sultans ;

Oui, combat, sans moi, sous ma couverture, je prie !

 

Dîtes-moi de tous, dîtes-vous de soi

Des chiottes,  des fautes de moi

Please dîtes my heart,  la seule peine

Please, dîtes à my brother, shoes thème...

 

Oui apparat, je vois le soleil, oui, voilà le jour !

Bonjour ciel , couleurs d’amour !

A vous, les sultans du jour !

A vous, les terreurs, sultans manipulateurs ;

Tout ce qui fera, plus que malheur !

A vous, cette guitare, nuitée du jour !


 

 

Brother Flots ever <3        A j'aimais dans mon coeur, tous ces souvenirs de mon existence, Tunnel of Love !

Un peu d'aide à décortiquer pour mon futur (Couverture : poème)(guitare d'ivoire : blancheur propos)(protecteur fer : mon Frère protecteur)(sol entre nuit et jour : être là entre la vie et la mort, entre le ciel et la mer)(sultans : à chacun sa définition !)

 

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25 février 2021 4 25 /02 /février /2021 19:45

 

Il pleut des idées à boire

Ils veulent quoi, au temps

Ces nuages blancs  noirs

Coups de crayons gris

Ils griffonnent le ciel, pourtant

En bas, sous ce parapluie

Il y a l’Amour

Il y a Elle et Toi

Il y a pour chaque jour

Juste qu’Elle contre Toi…

 

 

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25 février 2021 4 25 /02 /février /2021 04:12

 

 

Là où il y avait souche, plantons un arbre

D’eau d’amitié, gravons nous au bois

Pousser au temps liant, grand arbre

Faisons qu’il y abrite en toit

Ce jour où on se dira, rien qu’à soi...

Terr'eau Amour; Plantons cette graine

Et laissons le temps œuvrer, idem.......

 

 

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5 janvier 2021 2 05 /01 /janvier /2021 08:26

 

 

 

Douce, pénétrante symphonie

Des yeux, noix caramélisée, friselis

Aux sons d'une clé, nombre pansé

Notes noires, sourcils agacés

 

Accrochent aux longs fils, duel musique

Entre blanche et ronde métallique

Piano du cœur, l'enfantement

Partition mélodieuse du pro créant

 

Douce, pénétrante, câlinassions

Aux mains, effleurant les vibrations

Le don profond d'émouvoir

Toi, ma seule Amie, Toi mon beau Miroir

 

 

L'Amitié

Se compose de beauté apocalyptique

Entre fronde et accroche, écliptique

L’harmonie entre lune et terre

Tournant autour du soleil qu’enserre

Rêvéalité

Là est ma poésie pour Toi, l'on vit cela, l'envie en cela. Attends-ta rime, suicide en cime.

 

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24 décembre 2020 4 24 /12 /décembre /2020 05:57
Pour Katia, l'Amie de mon uni-vers

 

 

What else !

 

 

Hé ! Qu’y-a-t-il derrière tes yeux

Qu’au-delà, l’aventure alleu

Mais qu’est-ce qu’il se cache là

Dans ces miroirs, sons d’éclats

 

Y-a-t-il encore la lumière pour y voir

Quand tout devient noir, l’espoir

Oh ! Dis-moi qu’y-a-t-il en l'âme

Si seule, regarde cette flamme

Lourdes sont les paupières

Et ces larmes brillent, cimetière

De tous ces choix, croix

Qu’y-a-t-il, clous, ces yeux, m’en bois !

Des combats, dégâts !

 

Qu’y-a-t-il derrière tes yeux

Qu’au-delà devanture rieuse

S’épanouit, social vertueux

Est-ce cela quête, phare d’Amoureuse…

Où vont tes yeux au dehors

Sur quel balcon, sur quel rebord

Ris-tu jolie, l’âme florilège

Aimeras-tu au présent, rimmel

Est-ce cela que je vois là ?

 

Hé ! Qu’y-a-t-il derrière ses yeux

Un si font, si merveilleux

Mais qu’est-ce que tu ne dis pas

Ouvre donc grands les yeux

Aux quatre vents, chevauche ici-bas

Ouvre-toi, heureuse à l’azur bleu

Hé ! Qu’y-a-t-il entre nos yeux

Légendaire, l’Amitié, quoi de mieux !

 

 

 

Merry Christmas !

 

 

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14 décembre 2020 1 14 /12 /décembre /2020 15:25

 

Croise son regard, armurière

Ne froisse pas le revers

De sa veste satin, rêv’lover

Pistoleros en chevalière

Croise son sourire, aventurière

Ardoise en col d’hiver

Cela refroidit l’atmosphère

Nul n’accepte le silence, trop fier

 

Sur sa mob, new-lover

Assis contre lui derrière

Tu es tombée à sa clairière

Jusqu’à partir dans l’hémisphère

Marchant à ses côtés, enserrent

Ces moments de vos lèvres

 

Parti, du bleu au rose amère

Votre rencontre laisse la théière

Si froide d’infusion, colère

Qu’aucune excuse ne libère

Ni même le libère de l’enfer

Aux yeux où pleut, miroitière

Seul l’embrasure salinière

Engendrera ce câlin, son enfer…

 

Perdu

 

 

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10 décembre 2020 4 10 /12 /décembre /2020 19:23

 

…Lard

 

Dans mes rêves, j’écris vie

Rêvéalité, j’en vis oui

Les mots s’alignent en perles

Collier de poésie, émerveillent

Ces mots remparts protégeant

Cet instant à part, pourtant

Au matin, les yeux au ciel

Drôle de bain, pluie torrentielle

Qu’importe l’excuse, au mieux

Pluie de grêlons, cognant

Frappant l’hiver bleu

Sémaphore au fond

Suis, tout fond

Coulant siphon

Noir comme chaque nuit

A trop voir encore

L’hiver bleu d’écrits

Encre en mon port…

Dessine les rondeurs

Les souvenirs tracteurs

Hélices, glissent coups

D’ailleurs, au fond

Suis tout au fond

Dormant fou…

 

Lard…

 

 

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