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13 avril 2024 6 13 /04 /avril /2024 23:11


Ne me demandez pas de courir

ni d’écrire, peut-être pour y lire

tant de kilomètres, tant  à suffire

nul geste d’affect à dire

Qu’elle m’aime, fuir !

 

ne me demandez pas sourire

ni  d’en vivre, bien trop au pire

pour si peu d’en guérir

nul parole, qu’un folklore de sbire

qu’elle aime, plus rien  en avenir

 

elle qui de terre ensoleille

mets en jachère ciel

avec profondeur, puise l’air

qu’un arc-en-ciel conserve

 

pardonne t-on l’humanite

au sentiment, je ne sais

si peu que rien 

si vieux  m’éteins…

 

 

 

 

 

 

Entre lettres, laid son

difficile motsqu’a ecrire

l’ombre des liaisons

 

vous êtes si belle


 

 

 

Si lourd d'écrire

si sourd de dire

qu’a la poésie

rien ne nous réunit

Drôle de devanture


si minot à n'être

si idiot aussi

La Peur, devers

seul à cette vie

 

 

S’éloigne sur

A tous ces kilomètres

Ce fantôme  de lierres

Là où se dissimule 

ce même partage, articule

 

ce Sentiment sans gouaches

qu’enlace toute âme

La solitude sans partage

 

Incompréhensions, solitaire

Qu’a l’intérieur, sans repaire

Difficile à tout dire, à l’envers

si d’aventure d’apothicaire

a l’étal, sentiment d’hier

Tout se résume en fer

tache de rouille, cancer

tant, première 

le désir, volière 

tu es au miroir

reflet de mon âme

c’est tout; d’abreuvoir

le désir, drame….

 

 

Je au sentiment

Toi réprimant

je  toi en aimant

toi  je repoussant

 

ainsi est l’amen

Kamelia veine

quelle tristesse

quelle vie elle esse

A son ciel vide

Nu de poésie 

cru que morbide

s’accroche déni

mon arpège sentiment

sans son relief. Démons ….

 

 

 

 

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