Et dans la douleur, sans rancoeur
Et dans le malheur, d’once pleureur
J’ai pris au vent, volonté ne plus déranger
Et nullement, l’oubli, à s ‘isoler
Seulement, la grande voile, au loin
Aussi loin qu’une étoile, d’illusion
Et dans l’absence, son cancer tueur
Et dans le vide, immense pleureur
Parti derrière l’horizon, parti à jamais
Et n’jamais l’oublier, uni, continuer
Et dans les vagues, dans son image
Et dans les ravages, déséquilibre, fagne
J’ai pris le sel, iode de son sang
Fumure à sa mort, tant, purifiant
Comme l’amour, cultive au présent
L’homme qu’il était, si bon
Alors désenclaver cruche, … joyeuse, etcetera
Illuminer pour de bon, malgré glas
Parti main dans la main, bien trop tôt
Ainsi poème chante mon frère, mon ego.
Et un instant, sans bagage, mon firmament
Et à ce moment, l’image, sans comment
Au même chemin, nous rirons de tout
D’un café gourmand, carambar mou
Bien meilleur que tous, entouré
Sans le moindre fou, mais
Vivre en croyant, même si coups
Vivre en attendant, loin des clous
Loin des railleurs, des fornicateurs
Assez de manipulateurs, de moqueurs…