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7 octobre 2015 3 07 /10 /octobre /2015 17:41
Brassens encense...

 

Voilà calaison corbillard…

 

Quel ennui, le regard vide, dégoûté

J’envoie des mots secoués, rides alignées

Et flic flac, les fautes en pluie, à s’y mouiller

S’envole les gros mots, signes désavoués

Et tic tac, l’idiote sottise, à m’y noyer

 

Quels soucis, le sourire humide, plaies

Tournicote en propos, l’amer décès

Et  fric-frac, les guiboles majuscules, craies

Au tableau des rimes, godasses trouées

Plouf-plouf, funèbre troubadour, inégalé…

 

Et à toute cette bravoure, lecture en cloche

Tinte l’apothéose, avant yeux en croches

Et micmac, fiole sentiment, astre et anicroche

A l’extérieur, l’aveu de vous organière, si moche

Clic-clac, suie salpêtre, si profond, flèche qui se décoche

 

Accroche aussi boche, banc d’enfant

Reproche des proches, et pourtant

Troc d’auroch,  se décoche, plein cœur, au fond

Lèche fond de casserole, éteins cœur, au néant…

Trac, dernier râle avant oille enterrement…

 

 

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6 octobre 2015 2 06 /10 /octobre /2015 06:11
Quoi penser d'un c'est gentil !

 

C'est gentil dit-elle

 

Longue phrase
Crime de flanelle
Taise et confesse
Ce débat de base...
D'un quart de fesse 
Tyrannique soupir
Au prétentieux,s'attire
Précieux commentaire
Il est comme ces qu'eux
Tous les mêmes, fine chair
Peucheure, chronique qu'eux
Se taisent à cette phrase
Crime de charité
Nul débat, n'en lasse 
C'est gentil disent-elles
Remerciez et prenez...
Si baise, niaise si gentille
Baisse d'un ton
Falaise, en mille
Laisse, d'aise dame don
Toutou, noble chanson
Dormant, le gentil, qu'eux
Tire tire le pimpom 
Funeste gentil, peau de vieux
Et s'attache, jusqu'au fond...
 
fort aise alors plus de cela, c'est gentil...
 

 

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5 octobre 2015 1 05 /10 /octobre /2015 19:01
Aux enfants meurtris du samedi azuréen

 

Mon Papa est parti,

Maman en tristesse,

Assise sur le lit,

Pleure à cœur,

Poétesse…

Elle dit : Coureur,

Ton papa s’est enfuit

Au souffle d’un tropique.

Elle me sourit…

Et d’là-haut, Papa féerique

 

Et en boue, sa bouée !

Ses mots si forts ;

Remous, ses baisers !

On pleure à deux, plus fort…

 

Mon Papa est sorti,

Maman en sourit

A me regarder grandir ;

Enfant et souffrir !

Papa est parti,

cancer samedi

En crue, l’infini !

Son absence ici !

Maman, c’est cruel,

Maman, papa, vous aime… 

 

 

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5 octobre 2015 1 05 /10 /octobre /2015 17:32
Toujours nous

 

 

Tu sais, il faudra s’écrire

Apprendre à définir

Le charnel roman

L’histoire, pourtant

Froid dehors, chaud dedans

Pull de neige, glisse laine

Le rêve d’un nous

Si doux, si fou

Et en attente, je te cherche

Plaine suante, j’y prêche…

 

Sur le piano, noir et blanc

Et dans l’ego, complément

Laisserons-nous, d’accord

Les mêmes mots,  en corps

Des enfants jouant, d’humour

Des rêves lego, priant toujours

Qu’hier soit plus fort

Notes, présent, d’or

La vie aux photos d’avenir

Et sur peau, ton sourire…

 

 

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5 octobre 2015 1 05 /10 /octobre /2015 15:54
ÊtRevoir...

 

 

J’ai eu peur à défaut d’aimer

J’ai fuis cet avenir, destinée

Et dans quel poème, rime l’aloi

La belle histoire d’il était une fois

 

J’ai séduis la nuit colorée d’étoiles

Jusqu’à faire lune d’étendoir

J’ai aimé de folie, me dévoile

Jusqu’à tomber au plus noir

 

Se regarder, sourire d’ennemi

Le temps, Bastille, ma révolution

Puis, le jour est venu, m’a prit

La vie, lueur, l’amour, si belles émotions

 

J’ai eu peur  d’aimer

J’ai aimé d’avoir peur

Drôle d’histoire

Besoin de la revoir…

 

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5 octobre 2015 1 05 /10 /octobre /2015 03:56
Penne, entre ta clé dedans...

 

Etourdi, l’ineptie s’en suit

Interdit, l’inertie s’enfuit

Des mots en maux d’étincelles

Pour colorisé le ciel

 

Asepsie, parodie en déni

Y comprit, la nuit s’enfuit

Des egos en agios d’elle

Pour aimer l’existentiel

 

Liberté de respirer

D’aimer me va

Et de la regarder,

Ne m’en parlez pas

 

Elle en mon chemin

Destin, faim de chien

Elle, fusion réciprocité

Et vivre, ainsi, où faut-il signer…

 

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3 octobre 2015 6 03 /10 /octobre /2015 21:10
Même si... C'est la vie.

 

A tout ce que j’écris, à tout ce qui se lit

La même phrase qui, la même chute qui

 

Oui, si j’ose surprendre l’oiseau

Volant trop bas, tombant en glas

Et nul ne sait, reste à tous ces mots

Ta main dans la mienne, juste cela

 

A tout ce que l’on vit, à tout ce qui  se finit

Laisse cet amour si, laisse aller la vie oui

 

Dis, si t’oses surprendre l’enfant

Protégeant la fleur du cœur, cours

Et nul ne sait, leste à tous ces gens

Demain ou perdu de vue, on en riera…

 

même si...

C'est la vie.

 

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3 octobre 2015 6 03 /10 /octobre /2015 14:13
Rien de sérieux !

 

Celle que j’aime, perd son temps

Elle regarde ailleurs

Comme si, pas l’heure

Elle s’évade,  et pourtant

 

Comme des notes qui s’accordent

Comme des fleurs aux senteurs

Mélange, l’harmonie du bonheur

Faut juste attendre, toujours cet encore

 

Celle que j’aime, erre dans les champs

Batifole aux sermons

Viendra le grand moment

Et cependant…

 

Maktub, l’aleph  d’un inch’Allah

Marche vers l’étiolement

Et le troubadour s’en va

Comme l’enfant… 

 

 

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2 octobre 2015 5 02 /10 /octobre /2015 22:00
Qui est-elle ?

 

 

Et sur cette route, rien ne s’arrête

Et qu’importe, double ou passe

Impasse tout au bout, direct

Et en face, face à face de glace

 

Prendre l’autoroute, péage  de société

Au départ, mental de penser

M'man a, venue à la rue, elle

Et d’elle, ailes pour septième ciel

 

Et si parfois, je change comme cela

Qu’un nuage dissimule, je suis comme cela

Au sang de moi, l’amour klaxonne

Et personne sèche mes peurs, personne

 

Et sur cette route, qui s’arrête

Qui à ma porte, personne ne sonne

Résonne tout au bout, conteste

Et ainsi un jour, démissionne…

 

Qui est-elle ? La vie...


 

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2 octobre 2015 5 02 /10 /octobre /2015 21:31
Quartier St Pierre, sang chaud

 

Lorsqu’un peu plus tard

Ordinairement

Sang  qui pourtant…

Lorsque trop tard

Nécessairement

Plombs de chants

Les jeunes nocent  à St-Pierre

Névroses de canettes, joints à terre

Vil rhum, cerveaux de cartons

Lorsqu’un peu plus tard

Couteau, cran, drôle de plan

L’hiver dedans, balbutiements

Lorsqu’un peu plus tard

Toulouse, sale temps…

 

 

 

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