Voilà calaison corbillard…
Quel ennui, le regard vide, dégoûté
J’envoie des mots secoués, rides alignées
Et flic flac, les fautes en pluie, à s’y mouiller
S’envole les gros mots, signes désavoués
Et tic tac, l’idiote sottise, à m’y noyer
Quels soucis, le sourire humide, plaies
Tournicote en propos, l’amer décès
Et fric-frac, les guiboles majuscules, craies
Au tableau des rimes, godasses trouées
Plouf-plouf, funèbre troubadour, inégalé…
Et à toute cette bravoure, lecture en cloche
Tinte l’apothéose, avant yeux en croches
Et micmac, fiole sentiment, astre et anicroche
A l’extérieur, l’aveu de vous organière, si moche
Clic-clac, suie salpêtre, si profond, flèche qui se décoche
Accroche aussi boche, banc d’enfant
Reproche des proches, et pourtant
Troc d’auroch, se décoche, plein cœur, au fond
Lèche fond de casserole, éteins cœur, au néant…
Trac, dernier râle avant oille enterrement…